derrière tant de douleur, tant de mort se sent l’odeur de ce que Basile de Césarée appelait “le fumier du diable” ; l’ambition sans retenue de l’argent qui commande.
« derrière tant de douleur, tant de mort et de destruction, se sent l’odeur de ce fumier du diable” ; l’ambition sans retenue de l’argent qui commande. Le service du bien commun est relégué à l’arrière-plan ».